MON FRÈRE M’A VIOLÉE

Moi c’est Sarah, j’ai 18 ans je viens d’avoir mon Bac dans un lycée à Cotonou. Je suis née dans une famille de 5 enfants, dont je suis la seule fille. Je suis née juste après l’aîné qui s’appelle George. Il a 21  ans et est à l’université.

Depuis notre enfance il était mon protecteur. Nous étions toujours ensemble, il me défendait à l’école quand quelqu’un osait me toucher.  Comme nous vivons dans une famille très modeste, notre appart n’a que  deux chambres et un salon. Les parents utilisent une chambre et nous les enfants l’autre. Donc j’étais dans la même chambre avec mes frères jusqu’à l’âge de 15 ans, avant qu’un jour une tante vienne faire les remontrances à mes parents. Elle leurs dit que c’était inadmissible que je sois dans une même chambre avec quatre garçons même si c’était mes frères. Alors mes parents essayèrent d’aménager une petite partie, dans l’angle de ce qui nous servait de salon, pour en faire ma chambre. Il suffisait de mettre le rideau et le tour était jouer.

Entre moi et mon grand frère demeurait toujours cette intimité, il venait me voir dans ma chambre et on discutait de tout et de rien. Je le taquinais a propos de mes copines qui  fantasmaient sur lui. Mon frère est beau il faut le reconnaitre. Il s’est très vite développé, avec une corpulence imposante. Il a déjà 1m 80, et fait du sport pour avoir des barres de chocolat. Il est de teint clair, avec de jolis favoris. Au lycée les filles qui l'amourachaient faisait de moi leurs amie et me donnaient plein de cadeau et moi cela me réjouissait. Mais mon frère n’avait aucun égard pour eux, alors que je faisais tout pour qu’il sorte avec elles pour mon intérêt. Je me faisais des sous grâce à cela.

L’affinité entre moi et mon frère commença par se dégrader quand son ami Marius me fit la cour farouchement. Je me suis rendu compte que cela ne réjouissait guère mon frère. Mais moi je finis par tomber amoureuse de Marius et je l’avouai à mon frère. Ce jour mon frère rentra dans une colère noire, incompréhensible. Marius me fit savoir que  c’est son instinct de frère protecteur qui lui faisait agir comme cela et que cela le passera. Comme c’est son ami, il en discutera. Moi, je croyais que mon frère allait finir par revenir au bon sentiment, mais non. Il finit par dénoncer ma relation avec Marius aux parents. Ceux-ci ne me firent pas de cadeau, les cicatrices de mon corps peuvent en témoigner. Je commençais par détester mon frère, mais Marius me demanda de le pardonner. Moi et Marius continuions alors à se voir mais en cachette. George et les parents ne se doutaient plus de rien et je jouais à la fille modèle a la maison. J’eus mon Bac et j’étais aux anges, j’attendais seulement la rentrer pour négocié d’aller vivre à la cité universitaire.  Dans ces vacances, je vivais avec joie mon amour avec Marius jusqu’au jour ou George nous surprit entrain de s’embrasser une soirée. Nous étions cacher derrière une maison non loin de chez moi, personne n’aurait pu nous voir, mais je ne sais comment George nous a retrouvé.  Il commença par se battre avec Marius alors que celui-ci était censé être son meilleur ami. Je réussi à les séparer, je suppliai Marius de rentré chez lui. Ce qu’il fit. George commença à me menacer de tout raconter aux parents. Il savait que j’avais peur des parents. Nos parents étaient si aigris contre la nature d’être pauvre, que si l’un de nous faisait une bêtise ils pouvaient le battre à mort. George autre, les parents n’osaient le toucher. C’était un étudiant et en plus avec sa corpulence, c’était difficile de le battre. Je commençai à pleurer et supplier George de ne rien dire au parent, d’avoir pitié de moi. De me comprendre, que j’étais amoureuse et l’amour est aveugle et têtu. Et que si lui aussi était amoureux il me comprendrait. Il se tut et me regarda fixement et dit : «  Moi aussi je suis amoureux et te comprends. Mais t’inquiète je ne dirai rien pour cette fois ci ». Je fus si contente et je me jetai  a son cou, il me serra soudain très fort dans ses bras. J’en fus surprise, mais cela me réjouissait d’avoir retrouvé mon adorable frère. On rentra calmement à la maison.

Cette nuit là, je dormais profondément, en rêvant de mon amour, quand soudain j’entendis des pas dans le salon. Je me réveillai en sursaut, qui est ce que je vois ? C’était George qui était dans ma chambre. Je failli crier car j’avais prise peur. Il me ferma la bouche avec sa main. Il s’assied sur mon lit, il me fit signe de me calmer. Et enfin il me lâcha.

Il murmurait : «  Ne crie pas, suis venu te voir ni vu ni connu. Alors on discute doucement sans réveiller les parents. »

Je répondis : « ok, je vais pas faire de bruit. Mais il est 2h du matin, qu’est ce que tu veux me dire et ça ne peut pas attendre demain ? »

Il me regard fixement : «  ce que je veux te dire, j’aurai dit te le dire depuis. Je suis amoureuse de quelqu’un depuis fort longtemps »

Je souris : «  enfin, ce n’est pas trop tard. J’étais sur qu’il y aurait une fille qui volerai ton cœur. Alors dit moi qui c’est ? »

Il baissa la tête, soupira et se retourner vers moi. S’approcha de mon oreille pour me le chuchoter : « c’est toi »

Je failli crier : « comment c’est moi ? Tu blague j’espère ? Parce que suis ta petite sœur et suis amoureuse de Marius ».

Il mit sa main sur ma bouche : «  je m’en doutais que tu ne me comprendrais pas, depuis toujours j’ai eu envie de t’embrasser et… »

Il s’approchait de moi, et j’essayais de le repousser… Quand il me plaqua sur le lit par l’autre main, vu que l’autre bouchait ma bouche. A moins d’une minute, il m’avait maitrisé sur le lit et m’étreignait, qu’avec son poids je ne pouvais bouger. Mais je bougeais la tête pour le montrer ma désapprobation.

Il s’empressa de dénouer mon pagne, c’est là que les larmes commencèrent à perler mon visage. Il enleva sa culotte et me fit signe de me calmer. Il introduit son membre en moi et commença  à faire ses mouvements de va et viens. Je me débattais comme je le pouvais, je souffrais, j’avais la rage, je pleurais...  Je ne sais quel mot utiliser pour décrire ce que j’ai ressentit cette nuit… Mais j’aurais pu tuer mon frère si une arme était prêt de moi. Lui il n’arrêtait de répéter : «  je t’aime Sarah, je t’aime depuis toujours… ». Il continua cet acte immoral pendant quelques minutes. Remis sa culotte et avant de me lâcher il dit : «  tu as tout intérêt à garder le silence sur ce qui viens de se passer. En plus même si tu le dit personne ne te croira. Et quand tu le diras quand même, soit sur que je n’hésiterai a te tuer et me tuer après. Les plus belles histoires d’amour finissent toujours par la mort. Et moi je t’aime et ne laisserai personne d’autre te toucher. »

Il me laissa et partit.  Je tombai dans l’inconscience, et fut hospitaliser pendant deux semaines. Jusqu’aujourd’hui, je n’ai réussi à raconter cela a personne à par vous. »